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Existencialisme Superflu

Existencialisme Superflu
  • Il y a les premiers plans. Les choses importantes. Les principaux actes. Generalement le premier. Et il y a le second plan. Le secondaire. Ou se manifestent les possibles, les peut être et comment. Bienvenue dans le secondaire.
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9 novembre 2006

[ 46 ] Il est vrai.

C'est de ma faute, oui. Mais à demi.

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9 novembre 2006

[ 45 ] L'histoire d'une nuit.

Ce fut d’abord joint sur joint, puis clope sur clope faut d’avoir autre chose sous la main. Le pourquoi s’expose souvent à moi quand j’y réfléchi. Il est de ces moments d’euphorie, qui vous emballe la tête et vous font perdre tout sens de l’orientation. Il est de ces moments d’ennui qui vous éloigne de ces moments qu’on ne qualifiait alors que par un mot : « bien ». Il est de ces moments confus ou tous les aspects des deux premiers temps se mélangent, laissant apparaître un troisième acte complètement paradoxal. Il est de ces weekends ou tout l’imprévu devient mieux que le parfaitement planifié. Il est de ces soirs de semaine, ou les deux heures qui suivent sont déjà pré écrites et surlignées d’ennui.  Il est de ces sentiments indéfinis qui vous rappellent ce sourire, et qui en même temps vous soulève le cœur. Il est de ces gens rencontrés un soir, avec qui on s’est senti plus vivant qu’avec tous ceux qui campent notre quotidien. Il est de ces gens croisés un soir, qu’on recroisera non pas par hasard mais sans jamais retrouvé ce qui marqua la première foi de votre rencontre. Il est de ces nuits passées dans les bras d’un presqu’inconnu où vous luttez pour être raisonnable. Il est de ces soirs ou à force de lutter, le raisonnable est, mais qui quelques jours plus tard vous laisses un gout de regret. Il est de ces inconnus croisés un soir avec qui on a beaucoup partage affectivement parlant. Ce n’est pas le souvenir d’une nuit. Ni d’un bon moment, dont on a profité et qui s’en est allé.  Ni le regret de ne pas avoir pris son  pied. Mais plutôt de cette personne, de son visage, de ces mots, de sa présence, de sa peau contre la votre, de la résonnance de son cœur qui bat contre votre corps. Putain de suites de situation qui vous font regrettez de ne pas avoir fait. Putain de manque de courage qui vous empêche d’y aller et de tenter de récupérer ce qui fut ce soir là, avec cette personne là.

3 novembre 2006

[ 44 ] L'impuissance.

" Il va s'éteindre comme si on souffflait sur une bougie"

Ce sont ses mots...

C'est surement ce qui se passera dans un futur plus ou moins proche. Et on aura beau placer nos mains en cercle autour de la flamme pour la protéger du souffle, rien n'y fera...

3 novembre 2006

[ MERDE ]

La marque de l'encre sur la main, et des entailles sur les phalanges. La mise en scène d'un spectacle qui n'existe pas. Autrement que par l'esprit. On ne verra jamais les points qui clôturons ces phrases, si bien que ces dernières n'existeront jamais qu'implicitement. C'est un peu comme avancer à tâtons, au hasard. Allons y, jetons nous la dedans on verra bien ou ca nous mènera. Le résultat est souvent bien meilleur que celui auquel on s'attend. C'est ce qu'on espère du moins. Le résultat sera merdique, mais... Mais on ne sait jamais. Peut être que par un bien heureux hasard, qui n'arrive pas dans 99% des cas, le résultat sera bien mieux. Enfin bref... Tout ce qui vient à l'esprit par anticipation et qui relève de l'envie, n'arrive jamais. Ne dit on pas qu'on tombe sur certaines choses sans s'y attendre. Ok, ok… Faisons mine de ne pas s'y attendre. Pourtant, pendant que le temps défile moi j'ai de plus en plus de mal a sentir ta main dans la mienne, et dans quelques temps on ne se touchera plus que du bout des doigts jusqu'a ne plus se voir que de loin, et se perdre de vue.

« Le temps passe, ce n'est rien ». Ce n'est rien. Il est vrai que ce n'est rien. Si certaines choses vous tombe de dessus par un heureux hasard, d'autres vous tombe sur le coin de la gueule par un putain d'hasard merdique qui ne devrait pas arriver. Le temps passe, ce n'est rien. Attendons six mois pour parler du résultat. Esquissez un sourire, ne relève nullement un moral tout entier et n'arrange pas les choses, mais si un jour j'apprends que c'est tout le contraire, alors je te promets que je sourirai en montrant toutes mes dents pour que tout s'améliore, pour toi et les tiens.

Comment sortir un morceau de son cerveau et le jeter à plat sur une feuille blanche (virtuelle) : la réponse se trouve juste en haut. Le mélange des idées, pensées, peurs n'amène rien de bon et de cohérent (pour les autres) à lire. Je sais.

En attendant si je pouvais faire marcher le manège en arrière. Et la par avance faire en sorte que  ce qui se passe n'arrive pas… Remonter le temps a toute vitesse si bien que les souvenirs de ce mauvais moment qui ne fait que commencer, disparaitraient définitivement de ton esprit. Si toutes ces choses je pouvais les faire, je te jure que je payerai des tickets de manège à tout le monde. Pour que tout rentre dans l'ordre. C'est con parce que les mots qui me venaient avant sur ce manège c'était que ca me faisait penser à tout ça quand ca n'allait pas. Et aujourd'hui en relisant sur ce post, tous les mots ne correspondent plus, mais l'idée de base, d'un mauvais moment reste là.

Ce n'est pas rien, je sais. Ce n'est pas rien, mais le temps passe tu verras. Et tout ira.

Et merde , tout n'iras pas justement.

13 octobre 2006

[ 42 ] Je me suis faite griller...

large_metro_tunnel

...

Par une fille plus jolie, plus  mince, plus belle, plus ouverte, plus sociable, plus intelligente, plus marrante, plus tout en fait.

Rien de bien étonnant, en somme.

Je vais faire un tour, au lieu de ruminer ma rancoeur.

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11 octobre 2006

[ 41 ] Quelle merde!

J’ai hesité avant de tenter. Avant de tenter un post convenable, remplis de justesse et d’un peu de cohérence. Que dire..que dire de cette situation. En arrivant à la gare je me suis trompé  de quai, d’allée, de wagon, de train tout simplementt. Je ne suis pas sûre d’avoir pris la bonne direction, pourtant sur le billet je l’avais bien choisi « Avenir ». Je sais pas si j’ai pris la bonne destination malgré cette erreur, mais si c’est le cas alors j’ai sous doute pris le TER, au lieu de chopper le TGV. Je voulais que tout soit en ordre, que tout soit cohérent, et beau. Parce qu’au point zero, à ce nouveau depart je voulait que tout ce qui y soit implanté soit beau , vrai, et pas râté, gâché comme auparavant. Un tout réussi ou un ensemble médiocre mais amelioré. Un tout médiocre mais avec un A+++ dans la marge. Putain j’ai eu un D-, HORS SUJET sur toute la ligne, sur les dix pages de rédaction sur lesquelles je me suis penché et épanché avec sérieux et attention pendant ce mois qui vient de s’écouler. Je suis plus à la traîne, je suis à la ramasse, a l’ouest complet. Putain de merde. Le peu que je touche du bout du doigt sont comme ces envies, ces idées, ses souvenirs qui s’évapore. J’ai rencontré quelqu’un enfin, j’ai parlé au président. LA personne que tout le monde connait et qui connait tout le monde, le sociable en puissance que tout le monde adore, celui sur qui on ne peut que adhérer. Je l’aurais croisé ca ne m’aurait pas interpellé. Mais là en le croisant ca m’interpelle, ca me fait me gourer de chemin, aller plus moins, me faire violece pour pas tout râté. En vain. Je suis passé à côté. Il est comme ces personnes inconnues, qu’on croise et qui nous font arrêter de penser un instant, ceux qui a la sortie du train se perde dans la foule et qu’on ne revoit jamais.

9 octobre 2006

[ 40 ] essai

"En définitive une part de rêve ne devrait être que le morceau d'un avenir plus ou moins proche et non pas quelque chose d'innaccessible, ou de trop loin pour n'être touché que du bout des doigts"

21 septembre 2006

[ 39 ] I'm back (provisoirement)

Il est vrai que c'est ici que je suis le plus sincére. Seul endroit ou je ne detourne pas la verité, ou je ne choisis pas mes mots. Ceci pouvant expliquer la mediocrité des textes de ce blog mais bon. Personne n'ayant l'adresse, je ne m'expose qu'a trés peu de chose.

Alors voici ce que j'ai posté là bas, chez mon autre moi. Les explications viendront plus tard.

Ces derniers temps, ce fut un mélange. Un grand n'importe quoi, un tout inutile. Si je le racontais en détails ce serait un blablatage monstre et inintéressant. Comme à mon habitude. Comme je sais si bien le faire. Ces derniers temps furent ponctués par un tout en mouvement. Par la mise en place d'une phase, définitive ou pas,  je n'en sais rien. En tout cas par une phase à laquelle je ne m'attendais pas. Contrairement à mon habitude j'avais tout planifié. Ceci va là et le reste là bas. Comme quoi les changements d'habitudes ne sont pas toujours un bon point comme on pourrait le croire.

Il y a eu ces quantités bues, absorbées, ces kilomètres avalés, entourée de gens inconnus, pour une destination inconnue. Mais avec un but commun.  Je m'attendais à ça. Oui et non. Je pensais à quelque chose qu'il fallait marquer parce que tout ce qui allait suivre désormais passerait à une telle vitesse qu'en me réveillant demain je trouverais cette soirée trop lointaine. Et j'ai raté la sortie, ou je n'ai pas pris la bonne. Et puis tout était là pour que ça ne se passe pas comme prévu.

Malgré un rattrapage fictif, et  une scène réalisée à moitié pour le souvenir. Pour qu'au moins en y pensant, ma mémoire ne fasse pas défaut, et que quelque chose me rappelle qu'a une époque, à un moment donné, oui je les ai eu. Et que eux aussi ils y étaient même si dans quelques temps ils auront disparus. C'était un chemin parcouru de moitié de chaque côté pour essayer de mieux se retrouver au milieu, le temps d'être ensemble. 3 heures.

Quand elle a repris aujourd'hui, pour un demi tour, pour un bref retour au bercaï, c'était comme déjà prévu. Comme des choses déjà là, en tête, parce que forcement en y pensant ça ne pouvait se passer autrement. Oui, ils m'avaient manqués. Et forcément ça devait être réciproque. Beaucoup ou un peu, mais réciproque. Oui en fait non. C'est la que cette phrase intervient. C'est la que viennent s'entrechoquer le oui et le non, pour un mouai. Pour un tout médiocre"

6 septembre 2006

[ 38 ] PARLE A MON CUL MA TETE EST MALADE

Connard. Synonyme: Gros con.

C'est toujours ce decalage entre le premier et le dernier. Les deux en dehors du peloton qui s'entendront jamais de façon réguliére puisque chacun d'eux ne se rencontrera jamais dans ce fameux peloton. Le même systéme d'echos. Exposé et situé à deux monts differents. Le premier parle au second. Le second entendra toujours le premier en decalage et repondra donc de la même façon. Si bien que toute conversation soutenue est impossible, inexistante, et fausse.

Connard. Synonyme: gros con.

6 septembre 2006

[ 37 ] Sincerité mon cul

La sincerité ca s'apprend. Difficilement.

Je ne le suis pas ( sincére).

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