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Existencialisme Superflu
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  • Il y a les premiers plans. Les choses importantes. Les principaux actes. Generalement le premier. Et il y a le second plan. Le secondaire. Ou se manifestent les possibles, les peut être et comment. Bienvenue dans le secondaire.
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11 octobre 2006

[ 41 ] Quelle merde!

J’ai hesité avant de tenter. Avant de tenter un post convenable, remplis de justesse et d’un peu de cohérence. Que dire..que dire de cette situation. En arrivant à la gare je me suis trompé  de quai, d’allée, de wagon, de train tout simplementt. Je ne suis pas sûre d’avoir pris la bonne direction, pourtant sur le billet je l’avais bien choisi « Avenir ». Je sais pas si j’ai pris la bonne destination malgré cette erreur, mais si c’est le cas alors j’ai sous doute pris le TER, au lieu de chopper le TGV. Je voulais que tout soit en ordre, que tout soit cohérent, et beau. Parce qu’au point zero, à ce nouveau depart je voulait que tout ce qui y soit implanté soit beau , vrai, et pas râté, gâché comme auparavant. Un tout réussi ou un ensemble médiocre mais amelioré. Un tout médiocre mais avec un A+++ dans la marge. Putain j’ai eu un D-, HORS SUJET sur toute la ligne, sur les dix pages de rédaction sur lesquelles je me suis penché et épanché avec sérieux et attention pendant ce mois qui vient de s’écouler. Je suis plus à la traîne, je suis à la ramasse, a l’ouest complet. Putain de merde. Le peu que je touche du bout du doigt sont comme ces envies, ces idées, ses souvenirs qui s’évapore. J’ai rencontré quelqu’un enfin, j’ai parlé au président. LA personne que tout le monde connait et qui connait tout le monde, le sociable en puissance que tout le monde adore, celui sur qui on ne peut que adhérer. Je l’aurais croisé ca ne m’aurait pas interpellé. Mais là en le croisant ca m’interpelle, ca me fait me gourer de chemin, aller plus moins, me faire violece pour pas tout râté. En vain. Je suis passé à côté. Il est comme ces personnes inconnues, qu’on croise et qui nous font arrêter de penser un instant, ceux qui a la sortie du train se perde dans la foule et qu’on ne revoit jamais.

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